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Magilia est la meilleure amie de Foudros. C'est une huppermage qui vit à Astrub avec sa grand-mère, elle n'a jamais connu ses parents.

 

Résumé : Elle rencontre Foudros à Astrub et se lie d'amitié avec lui… quoique ça pourrait être bien plus que ça… Elle est mentionnée parmi certaines légendes autour de Foudros, notamment sur ses compétences au combat, autrement dit, c'est une huppermage redoutable. Elle accompagnera Foudros dans sa quête du dofus des veilleurs.

Synopsis

Elle est née le 16 descendre 783 à Amakna. 6 ans plus tard, le chaos d'Ogrest ravage le monde. Magilia et sa mère vont bien mais leur maison est en piteux état, c'est pourquoi elles déménageront à Astrub. Magilia vivra avec sa mère et sa grand-mère quelques mois. Sa mère partira sans que Magilia ne sache pourquoi… et elle ne reviendra jamais… Magilia ne s'est jamais vraiment inquiétée, elle n'a pas énormément souffert du départ de sa mère car sa grand-mère s'occupait d'elle… Elle prendra conscience qu'elle ne reverra jamais sa mère à 8 ans.

 - 14 septange 801 : Magilia est réveillée par un orage intense mais le temps qu'elle se lève et regarde par sa fenêtre, l'orage sera déjà fini. Elle ne verra qu'un brouillard légèrement bleu comme du wakfu.

 - 15 septange : Magilia se promène dans Astrub afin de s'initier à la couture. Sur son chemin, elle sera stoppée par les moqueries de Tranchet et sa bande. Elle voit qu'ils s'en prennent à un éliatrope, elle est comme paralysée et pourtant elle voudrait intervenir. Lorsque ce dernier s'enfuira dans les montagnes, Magilia regrettera son inaction et se promet de l'aider la prochaine fois. Plus tard, elle annoncera à sa grand-mère que la couture lui plaît et qu'elle voudrait faire carrière dans ce métier.

 - 16 septange : Magilia a toujours des regrets par rapport à la veille, mais elle va pouvoir se racheter : Foudros est sur le point de passer un sale moment. Elle se met face à Tranchet, elle n'a aucun plan mais son courage surpasse ses pensées. Foudros parviendra à repousser le sram tout seul. Magilia le portera dans ses bras pour le ramener chez Lypsoca. Surprise de la légèreté du garçon, elle pensa : "C'est étonnant qu'il soit si léger… pourtant, il a des formes assez généreu... NON ! C'est moi qui suis plus forte que ce que je pensais c'est tout…" Elle discutera avec Lypsoca une fois chez lui, ce dernier lui expliquera comment il l'a recueilli… mais Magilia aura l'impression qu'il ne lui dit pas tout. C'est ce même soir qu'elle découvrira comment s'appelle le jeune éliatrope : Foudros.

 - 17 septange : Magilia et Foudros vont observer la cité depuis les montagnes. Elle lui dira qu'elle vit avec sa grand-mère depuis le départ de sa mère.

 - 2 octolliard : Magilia a encore rendez-vous avec Foudros. Elle passe beaucoup de temps avec lui depuis qu'il lui montre ses dessins de vêtements. Elle rêve de réaliser des vêtements mais elle manque d'idées. Elle a proposé à Foudros de les imaginer et elle se contentera de les réaliser. Aujourd'hui, elle doit terminer un ensemble pour Foudros. Elle adore discuter avec lui pendant qu'elle fabrique ses oeuvres. Depuis qu'elle veut devenir couturière, elle dispose d'un atelier dans sa chambre. Elle finira le vêtement en fin d'après-midi. Foudros l'essaiera aussitôt (derrière un paravent, allons) et constatera que le vêtement est un plus moulant que prévu.

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Magilia est un peu gênée mais Foudros est content du résultat. Les réjouissances ne dureront pas bien longtemps car Tranchet se fait remarquer sur la place. Foudros intervient sur le champs et met une raclée supplémentaire à son rival de toujours. A la fin de la journée, Maqilia explique à sa grand-mère qu'elle ressent comme des papillons dans le ventre quand elle est avec Foudros. Sa grand-mère lui dira que c'est une maladie très puissante, que l'on ne peut garder pour soi et qui peut s'avérer douloureuse si l'on agit pas le plus rapidement possible : l'amour !

Magilia cherche différents moment pour avouer ses sentiments à Foudros, mais à chaque fois il se passe quelque chose : parfois c'est Tranchet, parfois c'est la santé de sa grand-mère... ou plus fréquemment, les soucis de Foudros quand à ses origines. Ce dernier affirme qu'il préfère ne plus utiliser ses pouvoirs, car chaque nouvelle image de son passé lui donne envie d'en savoir davantage. Un jour, il essayera un vêtement qu'il a dessiné lui-même et que Magilia aura réalisé. Mais comme ce sera la première réalisation de Magilia, il sera un tantinet plus moulant que prévu… cette dernière est quelque peu gênée. Foudros lui dira que ce n'est pas grave "Tu sais quoi ? Finalement je le trouve mieux comme ça, c'est plus agréable à porter. Ça me va." Magilia sera rouge comme une gelée à la fraise. "(à voix medium) Plus agréable à porter… (à voix très basse) et à regarder"

 - 31 octolliard : Magilia décide de tout avouer à Foudros ! Elle a compris quelque chose avec l'amour : plus on attend, plus c'est difficile d'avouer ses sentiments ! Elle ne veut plus attendre, elle connaît bien Foudros, elle sait qu'il ne s'énervera pas. Cependant, le soir même, non loin de la forêt, des chafers agressifs s'en prennent à eux ! Magilia ne maîtrise pas très bien ses pouvoirs mais elle donne son maximum pour que Foudros évite de faire revenir des souvenirs. Malgré son courage et sa détermination, Magilia fatigue très vite... et ce qu'elle a voulu éviter est arrivé : Foudros a encore eu des flashs... et beaucoup cette fois ! Il sera de nouveau perdu dans ses pensées... Magilia n'ose pas lui dire ce qu'elle a sur le coeur... Foudros est assez bouleversé comme ça...

 - 12 novammaire : Cette fois-ci, Magilia y a été à fond sur le moulant ! Foudros affirme que c'est plus agréable à porter... mais il reste perplexe.

Vous trouvez que c'est trop moulant pour un garçon ? Que Magilia a été trop loin ?

Magilia pouvait admirer Foudros comme s'il ne portait rien... mais ce n'est pas que pour ça qu'elle lui faisait porter de tels vêtements : "En te dévoilant ainsi, ça t'aide à t'assumer et à t'accepter tel que tu es ! Tu n'as pas à voir honte de ton corps, tu dois en être fier !" Foudros resta pensif et lui dit qu'elle avait raison, il devait arrêter de se cacher, et être fier de ce qu'il est !

 - 13 novammaire : Magilia continue de travailler sur un vêtement qu'elle tient à porter mais s'interrompt lorsqu'elle entend du grabuge dans la rue. Elle regarde par la fenêtre et voit une armée de chafers ! Elle se précipite dehors et commence à combattre. Elle parvient à tuer plusieurs chafers et est satisfaite de s'être entraînée après l'attaque du 31 octolliard. Malgré ses progrès et sa volonté, Magilia commence à fatiguer, et Tranchet en profite pour l'attaquer et l'emmener dans les montagnes ! Magilia crie de toutes ses forces et heureusement pour elle Foudros l'a entendu ! Elle le voit atterrir très rapidement juste devant elle et Tranchet. Ce dernier laisse tomber Magilia et se concentre sur Foudros. L'éliatrope ne tarde pas à vaincre son rival et ramène Magilia à Astrub via ses portails. Elle est surprise de ne pas être malade et constate que Foudros a encore de l'énergie à revendre... ce qui, d'habitude, n'est pas le cas lorsqu'il transporte quelqu'un d'autre avec lui dans un de ses portails. Plusieurs gardes de la cité sont sur les lieux et ils ordonnent à Magilia de rentrer chez elle et de soigner ses blessures. Magilia se dépêchera de se faire quelques bandages afin de rejoindre Foudros le plus vite possible, mais lorsqu'elle le trouvera, il sera à terre et elle le défendra contre toute attaque des chafers. Elle parvient à le ramener chez elle, elle lui fait des bandages et l'installe dans son lit. Elle retourne aider les gardes jusqu'à ce qu'il ne reste aucun chafer. La bataille étant finie, Magilia rentre chez elle, se met à genoux à côté de son lit et regarde Foudros qui dort paisiblement. Elle se demande alors quel âge il a... car il a l'air plus jeune qu'elle. Elle s'endort en méditant sur cette énigme.

 - 14 novammaire : Dès le début de l'après-midi jusqu'en fin de soirée, Magilia a confectionné une nouvelle combinaison à Foudros car la précédente a fini en lambeaux. Sa nouvelle tenue est noire avec beaucoup plus de motifs. Magilia explique qu'elle préfère en blanc mais que le tissu qu'elle a utilisé n'existe pas en blanc (car ce tissu là est bien plus résistant). 

 

- 16 novammaire : La grand-mère de Magilia a fini de préparer ses affaires et part vivre paisiblement à Emelka. Magilia ne veut pas que Foudros vive seul, elle sait qu'il ne supportera pas davantage de solitude. Elle lui propose de vivre avec elle et ce dernier accepte.

 - 24 novammaire : Magilia travaille en tant que créatrice de vêtements et Foudros en tant que garde. Magilia vient de finir sa nouvelle tenue. Elle l'a conçue car elle estime que ce n'est pas juste de faire porter des vêtements moulants à Foudros alors qu'elle n'en porte pas. Elle voulait aussi la porter pour plaire physiquement à Foudros... mais elle n'ose pas la porter. Elle n'a pas peur de ce que Foudros pourrait penser... c'est simplement qu'elle n'ose pas. Son moral ne sera pas excellent ce jour là car elle s'est permise de dire à Foudros de porter des vêtements moulant afin de s'affirmer, mais elle n'est pas capable d'en faire autant... alors qui est-elle pour donner des leçons ?

 - 30 novammaire : Magilia s'inquiète, Foudros devrait avoir finit sa ronde depuis un moment. Elle décide donc de partir le chercher. Heureusement qu'elle s'est entraînée à léviter, elle voit quelqu'un se diriger vers la forêt en portant une personne sur son épaule. Elle va suivre cette personne jusque dans la forêt et constater que c'est Dyfyrrée qui a enlevé Foudros. Alors qu'elle s'apprête à passer à l'action, la sram entre dans un chalet, Magilia va devoir prendre son mal en patience et attendre le bon moment pour attaquer. A peine 2 minutes plus tard, Dyfyrrée sort du chalet avec un gros sac qu'elle pose sur une charrette. Dyférrée s'en va et Magilia la suit. Dyférrée s'arrête dans des montagnes beaucoup plus éloignée d'Astrub et est sur le point d'attaquer Foudros ! Magilia n'attend pas : elle atterri et lance une sphère magique dans le dos de la sram ! Cette dernière se moque d'elle et la dévalorise, mais Magilia ne répond rien et lance une série de sphère, lesquelles vont mettre Dyfyrrée à terre. Magilia se précipite pour sauver Foudros, elle le sort du sac et le détache.

Ils repartent tous les deux à Astrub et jettent Dyfyrrée en prison.

 - 8 descendre : Magilia propose de créer son atelier dans son havre-sac et de quitter la cité, même définitivement s'il le faut. Foudros accepte. Magilia ferme la maison de sa grand-mère et part avec Foudros.

 - 11 descendre : Foudros et Magilia sont arrivés aux alentours de Bonta et  ils ne regrettent pas d'être partis : c'est plus rentable d'aller vers les clients plutôt que de les attendre. Alors que Foudros dort encore das le havre-sac, Magilia sort se promener un peu, elle réfléchit sur la façon de déclarer sa flamme à Foudros. Elle entend soudainement 2 aventuriers discuter d'un dofus qui s'appelle le dofus des veilleurs. L'un d'eux explique que ce dofus permet de faire revenir des souvenirs oubliés à la surface, et que ce serait le roi de Bonta qui le possède. Magilia y voit une possibilité pour Foudros de savoir qui il était autrefois, elle rejoindra son havre-sac le plus vite possible pour prévenir Foudros. Ce dernier décide d'aller rendre une petite visite au roi mais Magilia explique que pour obtenir une audience avec le roi il faut déjà faire une demande, mais surtout, il faut être citoyen. Plus tard dans la nuit, Magilia se réveille en entendant Foudros revenir dans le havre-sac et lui demande où il était. Ce dernier n'a pas le temps de répondre qu'elle suppose qu'il est allé voir le roi. Foudros ne lui cache pas sa bêtise et ils sortent du havre-sac afin d'analyser la situation. Ils n'ont pas besoin de s'approcher des frontières de la cité pour entendre les gardes et en voir quelques-uns.

Magilia observe les gardes et réfléchie à un plan. Elle remarque qu'une prime est offerte à qui capturera Foudros (vivant). Elle ressent un frisson glacé... et se rappelle qu'ils sont au mois de descendre. Ils retournent dans le havre-sac et Magilia explique qu'il aurait fallu interroger les citoyens de la cité avant d'aller voir le roi, car ce qu'elle a entendu n'est qu'une rumeur... il va donc falloir que Magilia aille interroger les citoyens elle-même. Foudros insiste sur le fait qu'il veut entendre les témoignages (surtout que Magilia ne peut pas tout retenir et faire un rapport détaillé). Magilia trouvera soudainement une idée, mais elle explique à Foudros que cette idée ne va pas lui plaire. Foudros confirme ce qu'elle supposait : l'idée était que Foudros soit caché dans un sac que Magilia portera, de cette façon il peut entendre ce que les citoyens vont dire. Foudros propose alors le havre-sac, mais Magilia rétorque qu'il y a de grandes chances qu'il soit fouillé. Foudros réplique en disant que si le plan tombe à l'eau, Magilia sera considérée comme sa complice. Magilia a vraiment penser à tout : elle affirme que si elle le ligote et le bâillonne, elle pourra faire croire qu'elle l'a capturé pour la récompense. Pour le coup, le plan de Magilia n'est pas mal du tout, car si le plan échour et que Foudros se retrouve en prison, il pourra s'en échapper grâce à ses portails. Foudros accepte mais pas seulement car le plan semble infaillible, mais parce que Magilia semble avoir vraiment envie de réaliser ce plan et il tient à lui montrer qu'il lui fait confiance.

 - 12 descendre : Magilia et Foudros se lèvent très tôt pour mettre leur plan à exécution. Magilia bâillonne Foudros et l'attache (ce qui est risqué car Foudros ne peut pas créer ses portails sans ses mains) avant de le mettre dans le sac (celui que Dyfyrrée avait utilisé. Magilia l'avait gardé car un sac aussi gros, ce n'est pas courant). Magilia porte une tenue qu'elle a confectionné au mois d'octolliard pour supporter le foid. Ils sont tous les deux prêts et sortis du havre-sac (havre-sac planqué en haut d'un arbre pour rappel) et se dirigent vers Bonta. L'air est frais et le brouillard très imposant, ce qui est finalement un avantage car Magilia ne se fera pas trop repérer avec son gros sac pas discret.

Magilia se balade dans la cité comme si de rien n'était, et heureusement que les poils de gliglis tiennent chaud. Elle n'a pas encore le temps d'aller poser des questions à des citoyens qu'un garde la repère et lui demande ce qu'elle transporte dans son sac ! Magilia hésite un peu... et prend finalement un air joyeux en disant : "Des vêtements que je crée moi-même, surtout des petites tenues pour femme. Vous voulez que je vous montre ?" Le garde se mit alors à rougir et s'excusa en bégayant avant de la laisser repartir. Magilia n'est plus très loin du palais... mais une garde s'interpose (une iop) et lui pose la même question que l'autre garde.

Cette iop avait à peu près la vingtaine et avait un regard perçant, comme si elle pouvait repérer les gens qui préparaient des mauvais coups. Magilia se mit à sortir la même excuse qu'à l'autre garde... mais la iop, toujours avec ce regard perçant, lui demanda de lui montrer ! Magilia, gênée, lui répond qu'elle n'ose pas trop montrer... mais la garde ne flanche pas : "Allons, on est entre filles !" dit-elle d'un ton intimidant. Magilia pose alors le sac... qui a légèrement bougé... la iop amplifia son regard intimidant : "Je ne savais pas que les culottes bougeaient toutes seules une fois rangées !" Magilia était piégée ! La iop ouvra le sac elle même et constata qu'il contenait le garçon recherché ! Elle demanda une explication à Magilia et cette dernière lui affirma : "Bon d'accord, c'est pour la récompense. Je ne voulais pas vous le montrer car je voulais garder la récompense pour moi toute seule... j'en ai énormément besoin... désolée." La garde effaça rapidement son regard noir pour le remplacer par un sourire. Elle referma le sac et s'adressa à l'huppermage : "C'est honorable de voir quelqu'un arrêter les hors-la-loi, même si c'est pour une récompense. Je vais vous accompagner jusqu'au palais. Comme ça aucun garde ne vous retardera." Magilia était anxieuse... mais soulagée... et légèrement satisfaite que son plan fonctionne. La iop se présente, elle se nomme Lothilda et est devenue garde il y a 2 mois, elle a connu une ascension fulgurante au sein de l'armée de la cité. Magilia et Lothilda sont arrivées au palais et elles se rendent sans soucis jusque dans la salle du trône où se trouve le roi. Magilia se présente et dépose le sac devant lui, en montrant Foudros ligoté et bâillonné. Le roi la félicite et l'invite à prendre le petit déjeuner à la table royale. Lothilda emmène Foudros (toujours ensaché) à la prison du palais.

 

Le repas se passe plutôt bien... mais le roi demande comment Magilia a pu savoir que Foudros était recherché alors que les avis de recherche n'ont pas quitté l'enceinte de la cité (en se présentant au roi, Magilia a commis une erreur : elle a déclaré ne pas être citoyenne de la nation). Magilia n'a pas le temps de s'expliquer que 2 gardes l'emmènent de force à la prison du palais.

En arrivant dans les oubliettes, elle croise Lothilda qui ne semble pas comprendre la situation. Elle est enfermée dans la même cellule que Foudros. Lothilda revient lentement devant la cellule, abasourdie. Magilia lui affirme qu'elle a de bonnes raisons d'avoir fait ce qu'elle a fait : elle et Foudros voulaient emprunter le dofus des veilleurs afin que Foudros puisse retrouver la mémoire. Elle ajoute qu'elle comptait rendre le dofus au roi et que si elle a aidé Foudros, c'est parce qu'elle ne supporte pas de le voir malheureux. Lothilda s'en va en disant calmement : "Le dofus a été volé il y a 2 mois." Magilia lui hurle que Foudros est quelqu'un de bien et qu'il le mérite. La iop ne se retourne pas et ne dit pas un mot. Magilia délivre Foudros et ce dernier ne perd pas de temps, il compte bien sortir de cette prison. Petit soucis, il ne parvient pas à créer de portails ! Magilia repère un inhibiteur accroché au mur du couloir ! Elle explique à Foudros que cet objet neutralise les pouvoirs magique sauf s'il est couvert de tissu. Foudros n'hésite pas : il déchire le haut de sa combinaison et le lance vers l'inhibiteur... sans succès. Magilia elle, est bloquée sur la vue du dos de Foudros.

Foudros réfléchi à une solution... jusqu'à se tourner vers Magilia (qui bavait légèrement 0.0) : 'Ton ensemble en poils de gliglis est bien plus lourd que ma combi." Magilia était à la fois surexcitée (se déshabiller, même partiellement, devant Foudros était un rêve qui devenait réalité) et gênée (elle n'osait même pas mettre sa combinaison moulante devant Foudros de peur de ce qu'il pourrait dire). Elle hésita mais lui demanda : "C'est plus lourd mais ça ne le couvrira sûrement pas assez..." Foudros, en regardant de nouveau l'inhibiteur, avoua qu'il n'aurait pas dû jeter son vêtement plus tôt. "Ce n'est pas grave, il te reste le bas." suggéra Magilia en le matant et en saignant légèrement du nez. Foudros se retourna vers elle : "Quoi ?! Non mais tu ne crois pas que je vais me mettre tout nu ?!" Magilia avait failli dire le fond de sa pensée ("Et pourquoi pas...") mais elle a répondu : "euh... je suis une fille..." Foudros répondit aussitôt : "... ce n'est pas un argument. Les garçons aussi ont droit à leur intimité. Sans compter que moi, je ne porte rien sous ma combi, alors que toi..."

Magilia ne pouvait pas contrer ça, Foudros avait raison sur toute la ligne. La situation était certes tendue, mais la conversation était si calme qu'on pouvait croire que nos héros discutaient simplement d'un sujet comme un autre. Magilia admit qu'il avait raison, elle enleva donc son haut bleu foncé et le donna à Foudros... qui ne la matait même pas. Magilia était contente de voir enfin un garçon respecter l'intimité... mais aussi déçue... car si elle lui plaisait, il l'aurait regardé. Foudros chiffonna la brassière en poils de gliglis dans le vêtement bleu : la brassière (avec son poids) aurait propulsé le haut bleu, et une fois contre l'objet, la vitesse aurait replié le haut bleu sur l'inhibiteur... mais Foudros lança à côté.

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"Dommage !" Magilia lui dit que ce n'est pas grave, mais Foudros affirme que ça l'est : "Nous n'avons plus qu'une seule chance... et je ne voulais pas que tu sois obligée d'enlever le bas !" Magilia pensait que Foudros en faisait un peu trop, mais il était beaucoup plus sensible que toutes les personnes qu'elle avait rencontré et elle remarquait que ça le dérangeait sincèrement. Magilia lui sourit et enleva le bas en lui disant : "Tu sais, ça pourrait être pire." Foudros se tourna vers l'inhibiteur en disant : "Ce n'est pas parce qu'il y a pire, qu'il faut ignorer ce qui est actuel." Il avait encore raison, ce n'est pas parce qu'une situation peut empirer qu'elle est à ignorer. Il ne faut pas forcément s'en contenter, mais essayer d'avoir plutôt que le mieux que le pire. Magilia était pensive, elle voulait que Foudros réussisse à les libérer... mais elle voulait aussi qu'il échoue... non ! Il fallait qu'il réussisse ! Magilia devait mettre ses sentiments de côté afin de pouvoir se concentrer sur l'essentiel.

Foudros est parvenu à recouvrir l'inhibiteur et utilise son portail pour qu'ils puissent sortir de la cellule. Magilia remet ses affaires et part avec Foudros dans un autre portail. Ils arrivent sur le toit du palais. Foudros est vidé, ... pourtant quand ils avaient prit le portail à deux lors de la bataille d'Astrub, Foudros avait encore de l'énergie. Foudros se força tout de même à aller chercher le havre-sac qui était caché dans l'arbre pour le ramener. Le havre-sac était sur le toit du palais, bien caché et inaccessible. Foudros et Magilia étaient à l'intérieur. Magilia se changea et mit ses vêtements habituels (il faisait plus chaud dans le havre-sac) mais Foudros lui, était assis, toujours torse nu... Il était pensif, il regardait dans le vide, sans bouger... sans même cligner des yeux. Magilia l'avait déjà vu réfléchir, il avait l'habitude de faire les cents pas... quand il réfléchit sans bouger, c'est qu'il est contrarié. Magilia ne savait pas quoi dire pour le réconforter, elle l'a donc prit dans ses bras pour le câliner. Elle ne lui dit rien, elle ne fait que lui caresser la tête... et Foudros, qui n'avait reçu autant d'affection... se mit à pleurer. Mais pleurait-il seulement à cause de ça... non, il pleurait à cause du faux espoir qu'il avait eu... et le fait d'avoir entraîné Magilia dans ses problèmes : il pleurait parce qu'il se détestait ! Il s'endormit dans les bras de Magilia. Elle continuait de lui caresser la tête, mais elle aussi se sentait malheureuse... elle voulait tellement l'aider, lui avouer ses sentiments... elle s'était endormie en pensant à tout ça.

Magilia se réveilla en sursaut. Foudros était toujours en train de dormir par terre, presque contre elle. Ils étaient tombés sur le côté lorsque Magilia s'était endormie. Elle se leva, prit Foudros dans ses bras  et le mit dans le lit et sous les couvertures car il était gelé. Magilia repensait à cette journée... ils étaient tous les deux épuisés. Elle le regarde un moment... elle aime le regarder dormir... Elle se décida enfin à mettre le vêtement moulant qu'elle avait fabriqué.

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Elle se décide à sortir pour profiter du soleil (ce qui est surprenant au mois de descendre). Elle reste assise à côté du havre-sac sur le toit du palais. Elle apprécie de plus en plus regarder le monde depuis un endroit haut... En fin de journée, Foudros arrive pour s'asseoir à côté d'elle et admirer le coucher de soleil. Il complimente la nouvelle tenue de Magilia et cette dernière rougit légèrement. Il annonce également qu'il se fiche désormais que qui il était autrefois. Il a compris que Magilia était son amie pour ce qu'il est et non pour ce qu'il était. Magilia passe son bras dans le dos de Foudros et l'incline sur ses genoux. Foudros est apaisé et détendu. Magilia quand à elle, trouve qu'elle réussi enfin à se rapprocher de l'élu de son coeur.

Foudros et Magilia sur le toit du palais

On dirait déjà un couple, pas vrai ? 

 - 13 descendre : Magilia et Foudros quittent la cité sans se faire repérer. Quelques heures plus tard, ils croisent Lothilda se reposant le long d'un arbre. Cette dernière leur dit "salut" et regarda dans le vide à nouveau. Elle semblait être fatiguée et en même temps soulagée. Magilia lui demande pourquoi elle n'est pas à son poste, et cette dernière répond qu'elle avait tenté de parler au roi aussitôt qu'elle avait quitté les cachots. Mais le roi ne voulait rien entendre et l'a renvoyé car elle défendait des prisonniers. Elle aurait même pu être arrêtée pour trahison, mais le roi dit avoir été clément... Magilia était révoltée et scandalisée... mais pas autant que Foudros. Il était en effet dans une telle colère qu'il fit aussitôt demi-tour vers Bonta. "Qu'est-ce que tu fais ?" - Magilia. Foudros regardait au loin, il semblait si déterminé... il répondit "Justice" d'un ton ferme. Lothilda était stupéfaite mais arriva à le convaincre de laisser tomber car elle était contente d'être libre à nouveau. Elle allait enfin pouvoir retrouver le goût de l'aventure et vivre ailleurs que dans le dortoir des gardes. Elle va commencer par aller à Astrub, car la dernière fois qu'elle y était, c'était lors du Chaos d'Ogrest. Elle veut voir comment est devenue la cité. Ils partirent donc dans 2 directions opposées.

 - 16 descendre : Foudros et Magilia espèrent bientôt arriver à Amakna. Ils se retrouvent près d'une clairière... et réalisent qu'ils sont perdu. Ils finissent par apercevoir une fille blonde habillée en bleu. "Excusez-moi, mais nous sommes perdu, pouv..." Magilia s'était interrompu dès que la fille s'était retournée. "Sarmita !" "Magilia !" Les deux filles se rejoignirent en courant avant de se faire un câlin. Foudros comprit tout de suite que c'était une amie de Magilia. "Foudros, je te présente Sarmita, une amie d'Astrub qui est partie quelques mois avant que je te rencontre. Sarmita, je te présente Foudros, l'amou...l'ami qu...enfin mon nouvel ami." Sarmita avait tout de suite compris. Elle a fait connaissance avec Foudros jusqu'à ce que ce dernier les laisse entre filles :"Vous devez avoir un tas de choses à vous dire". Il avait le sourire et semblait concentré lorsqu'il alla regarder les alentours avec la carte de Sarmita. 

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"Alors racontes, je veux tout savoir, il a l'air spécial ce blondinet". Sarmita avait un énorme sourire.

 - "Il n'y a pas grand chose à dire... à part qu'il est unique, c'est le garçon parfait.

 - "Garçon c'est vite dit, au début j'ai cru que c'était une fille."

 - "Oui ben... ça fait partie de son charme..."

 - "... alors dans ce cas j'ai hâte d'apprendre à le connaître." dit-elle en tournant les yeux vers Foudros. "Bref, dis lui que je sais où se trouve Amakna, il faut juste traverser les marécages qui nous mèneront à la forêt interdite, la plus dangereuse d'Amakna." Elles continuèrent de parler en marchant. Foudros parlait un peu de temps en temps... surtout quand ils croisaient de plus en plus d'aventuriers qui allaient dans la même direction. Il demanda à l'un d'entre eux :"Qu'est-ce qu'il y a dans les marais pour attirer autant de monde ?" L'un d'eux répondit : "une magnifique créature !" Le trio avait du mal à comprendre. Un peu plus loin se trouvait une foule immense avec un brouhaha qui résonnait au milieu des étangs boueux. Tous les aventuriers que le trio avait croisé étaient là... et ils avaient tous un regard niais. Ils bavaient devant une bellaphone ! Cette dernière vit Foudros et lui sourit... sourire qui s'effaça lorsqu'elle vit que Foudros ne lui rendit pas son sourire. Elle se leva et se dirigea vers l'éliatrope pour lui demander : "Comment tu me trouves mon mignon ?" Magilia devint rouge à l'instant même et s'apprêtait à commettre un meurtre, mais Foudros prit les devants :"Pas assez habillée." dit-il d'un ton de reproche. La séduisante créature sembla sur le point de s'en prendre à lui, mais Magilia lui lança un rayon d'énergie lumineuse. La bellaphone se cogna la tête contre un arbre lors de son vol plané, ce qui l'assomma direct et libéra les autres aventuriers de son emprise.

Le soir même, (entre la forêt interdite et Emelka) Foudros alla se coucher dans le havre-sac tandis que les filles étaient restées dehors pour discuter :

"T'es vraiment sûre que c'est un garçon ?" demande discrètement Sarmita

 - "Décidément..."

 - "Désolée, mais normalement aucune âme masculine ne peut résister au charme d'une bellaphone."

Sarmita avait raison, jusqu'à maintenant, aucun garçon n'avait résisté au charme d'une bellaphone. Elle n'y pensa plus et alla se coucher avec Foudros. (Sarmita avait son propre havre-sac.)

Durant la nuit, Foudros se réveille en sursaut à cause d'un cauchemar. Il est paniqué et Magilia le sert dans ses bras. Ils ne parviennent pas à s'endormir à nouveau et discutent un peu. Au bout d'un moment, Foudros pose la question qui tue : "Pourquoi tu me donnes autant d'affection ?" Magilia se mit à rougir, c'était enfin le bon moment pour avouer ses sentiments... mais elle n'y parvint pas : "Eh bien... tu n'a... tu n'a pas souvent le moral et... et comme tu ne te souviens de rien... tu ne te souviens pas non plus de toute l'affection qui t'a été donné par le passé... ou même si tu en a reçu..." Foudros se mit à sourire et dit calmement :"Je demande ça car tu as vite réagi quand la bellaphone est venue me parler." Magilia sentait qu'elle était coincée... mais elle esquiva la conversation sans changer de sujet :"A ce propos... tu n'a pas ressentis un truc face à elle ?" Foudros fit "non" de la tête et Magilia enchaîna :"Parce que... normalement... aucun garçon ne peut résister à son charme..." Foudros était intrigué par cette révélation, ça l'a fait repenser à toutes ces fois où Tranchet l'appelait "la fille manquée". La fatigue l'emporta et il parvint à s'endormir à nouveau. Magilia l'admira un moment avant de se rendormir.

 - 19 descendre : Le trio est enfin arrivé à Amakna. Sarmita se rend à l'auberge avec les autres filles qui vont défiler avec elle. Foudros et Magilia en profitent pour visiter la nation.

Le lendemain, Sarmita défile dans différentes tenues. Des garçons aussi défilent... mais Foudros trouve que les tenues ne sont pas très originales, qu'elles se ressemblent toutes, tandis que Magilia critique les mannequins, ils sont tous identiques : les filles ont des formes généreuses et les garçons ont des muscles saillants. Selon elle, toute personne peut défiler, il ne devrait pas y avoir de "critères". Sarmita renvient peu de temps après et affirme qu'elle est en repos jusqu'à la saison prochaine. Le petit groupe veut aller admirer la mer depuis la falaise qui se trouve derrière la clairière de l'auberge. Foudros court vers l'horizon marin, Sarmita se met à courir pour le rejoindre... mais Magilia ne les a toujours pas rattrapé et se met à crier : Morgan la tient à la gorge ! Il serre le coude de plus en plus et s'adresse à Foudros : "Salut la fille manquée !" Foudros s'énerve très vite mais Morgan tient un objet dans sa main gauche : un bouclier, ou plutôt un champ de force de wakfu se crée autour de lui et de son otage ! Foudros essaie de créer un portail à l'intérieur mais cela échoue. Morgan lui affirme que rien ne peut traverser ce bouclier car il s'agit d'une relique de la déesse Féca en personne !

Foudros est paralysé, il ne sait plus quoi faire... mais il est furieux ! À la fois contre Morgan, et contre lui-même, car il sait qu'il ne peut rien faire ! Il demande à Morgan ce qu'il veut, et ce dernier lui répond que Foudros doit retourner à Astrub chercher l'objet à chafers de Tranchet. Foudros ne sait pas de quoi parle Morgan et ce dernier lui répond : "C'est Tranchet qui a provoqué l'attaque des chafers, il peut les invoquer grâce à un objet. Une sorte de pierre précieuse rouge en forme de crâne." Foudros vient de comprendre, Tranchet n'a pas profité de l'attaque des chafers, il en est à l'origine ! Il était également à l'origine de la première attaque au cimetière le 31 octolliard ! Foudros n'avait pas besoin de voir le wakfu de Morgan pour savoir qu'il ne fallait pas lui remettre cet objet ! Mais ce n'était pas la priorité, il fallait sauver Magilia ! "Tu es conscient que me rendre à Astrub prendra un temps fou, sans compter le temps de trouver l'objet en question ! Relâche Magilia et je t'aiderai à trouver ce que tu cherches !" Morgan lui répond avec un sourire dominant :"Ce n'est pas comme ça que ça marche ! Moi j'ai tout mon temps !" Foudros ne pouvait en supporter plus ! Son coup de bluff a échoué, il ne restait plus qu'une seule solution : Tout tenter !

Foudros entra en exaltation aussitôt, il fonça d'un bond sur le bouclier magique de Morgan ! Il lança une rafale de coups de points ! Des éclairs de wakfu émanaient des points d'impacts, Foudros accélérait son enchaînement ! Magilia n'aurait jamais cru qu'il puisse multiplier les coups à une telle vitesse ! Le bouclier se fissura, et se brisa ! Magilia vit le regard noir de Foudros, elle en avait presque peur ! Foudros se rapproche très vite, prêt à donner à Morgan le coup décisif ! Magilia vit Foudros comme jamais : très intimidant !

Foudros donne un coup puissant à Morgan, un coup similaire à celui que Tranchet a subi lors de l’attaque des chafers ! Morgan est propulsé au bord de la falaise et tombe dans l’eau ! Magilia, tout comme Sarmita, est sans voix… Foudros est essoufflé et a du mal à bouger, mais il affirme qu’il faut retourner à Astrub d’urgence ! “Il faut retrouver cet objet !” Il s’évanouit… Magilia récupère l'objet magique de Morgan, et emmène Foudros dans son Havre-sac. Elle range l'objet et met Foudros dans le lit. Sarmita la rejoint à l’intérieur. Magilia lui demande ce qu’elles doivent faire. Sarmita lui répond que le mieux est probablement de retourner à Astrub. Magilia acquiesce : “Alors repose toi ici, je vais récupérer nos affaires à l’auberge et je prendrai la route.” Sarmita l’arrête tout de suite : “Sûrement pas ! Toi tu te repose et moi je prends la route.” Magilia accepte, même en sachant qu’elle ne pourra pas fermer l'œil… Elle s’occupera en confectionnant une tenue de rechange pour Foudros.

Dans la nuit, Sarmita vient la réveiller, elle s’était endormie sur son établi. Sarmita est épuisée, Magilia est prête à la relayer, mais en voyant sa tête, Sarmita juge qu’elles ont besoin de repos : “Tu as fini de refaire sa combinaison ?” Magilia fait “non” de la tête. Sarmita lui propose un truc à ajouter à cette tenue : “tu devrais lui ajouter une cape, ça ferait plus héroïque… ça aurait été trop stylé de la voir voler tout à l’heure pendant qu’il donnait des coups de poing !” Magilia n’était pas contre, elle aussi aurait trouvé ça classe, surtout lorsque Foudros se déplace dans les airs grâce à ses portails… mais elle hésitait : “Le problème avec une cape c’est que ça demande beaucoup de tissu, et…” Samita se mit à sourire : “Et surtout, ça te priverai d’une belle vue…” Magilia devint rouge et bégaya en essayant de nier, mais son amie répliqua : “Ne me prend pas pour une iop, j’ai bien vu que tu te débrouillais toujours pour marcher derrière lui.”  Magilia rougit davantage mais ne prononce pas un mot. Elle et Sarmita vont se coucher.

 - 21 descendre : Dès son réveil, Magilia reprend la route. Durant la marche, elle réfléchit sur la façon dont elle pourrait faire une cape satisfaisante et comment elle pourrait renforcer la solidité de ses tissus : car Foudros a réduit en lambeaux son tissu extensible le plus résistant… Peu de temps avant que Sarmita ne sorte du havre-sac pour la relayer, Magilia affirme avoir trouvé ! Elle passera tout l’après-midi à coudre, à relire les livres de sa grand-mère sur les enchantement afin d'enchanter la tenue de Foudros.

Plus tard dans la journée, Sarmita s’arrête dans une auberge car un violent blizzard a commencé. Une fois dans la chambre, elle en informe Magilia, toujours dans le havre-sac, inquiète pour Foudros : “Ne t’en fait pas, il respire… il doit simplement être épuisé.” Les deux filles sortent du havre-sac… et quelques heures après, c’est au tour de Foudros. Ce dernier se demande où ils sont. Magilia et Sarmita lui expliquent que le blizzard est trop violent. Magilia informe Foudros que sa nouvelle tenue est enchantée, elle ne devrait plus s’abîmer aussi facilement. Elle explique aussi qu’elle a ajouté une “sorte de cape” à sa tenue pour le rendre plus stylé. Foudros est encore plus pensif que d’habitude, il affirme avoir eu de nouvelles images : Trebla plus jeune… et pleins d’enfants éliatropes dans une sorte de jardin… Sarmita demanda quelques explications, et c’est Magilia qui expliquera tout ce qu’il s’est passé depuis que son amie est partie d’Astrub. Elle explique aussi tout à savoir sur Foudros, ses pouvoirs, ce qu’il a vécu, et ces flashs : Un temple en ruine, un dofus rempli d’éclairs, un iop terrifiant, un dragon bleu au milieu d'un gigantesque orage, Bonta à l’Âge des Dofus, Lypsoca et Trebla plus jeunes… Sarmita était perplexe : “Quand je te regarde, je te donne 17 ou 18 ans… tu peux donc avoir connu Trebla et Lypsoca dans la cité de Bonta avant le Chaos d’Ogrest…” Foudros y avait déjà pensé, mais : “Dans ce cas pourquoi Lypsoca ne m’a jamais rien dit, pas même mon nom…? Il sait des choses sur les éliatropes, mais… et puis de toute façon ça n’explique pas le reste ! Magilia affirme que les dragons ont disparu depuis l’Aube des Temps, alors comment j’aurais pu en voir un !? Et ce iop monstrueux avec du feu sur la tête, c’est…” Sarmita le coupa : “Dark Vlad ! Tu as croisé le chemin de Dark Vlad !? J’ai toujours cru que ce n’était qu’une légende !” Foudros et Magilia restaient muet… chaque flash aurait son explication…Cependant, personne n’arrive à expliquer pourquoi Foudros ne succombe pas au charme d’une bellaphone… 

 - 22 descendre : Malgré la tonne de neige, le groupe arrive à Astrub à la nuit tombée : Sarmita et Magilia sont restées dans le havre-sac tandis que Foudros utilisait sa super vitesse éliatrope. Ses amies sortent du havre-sac et le trio retourne vers la maison de la grand-mère de Magilia… devant laquelle Angorix les attendait ! Ce dernier explique à Foudros que Trebla est décédé… et que l’éliatrope est son héritier. Angorix ne resta pas longtemps car il continue d’aider tous les habitants. Le groupe décida donc d’aller chez Trebla, sa maison se trouve sur son île personnelle. La traversée en navire n’est pas très longue (1 heure à peine), et l’île est assez grande. Elle est reliée à une petite île à proximité par un gigantesque ponton, il y a aussi une colline et 2 plages. Lorsque le groupe arrive à la maison, Magilia trouve un parchemin enroulé sur une table, il est adressé à Foudros… ce dernier préfère le lire dehors… Magilia continuait de mettre de l’ordre dans les affaires de Trebla… jusqu’à ce que Sarmita l’interrompe :

- “Dis lui…

- “Lui dire quoi ?

- “Ce que tu ressens !

- “Je ne crois pas que ce soit le moment idéal pour ça…

- “Au contraire ! En lui avouant tes sentiments, ça pourrait lui remonter le moral !” Son amie n’avait pas tort… Magilia prit son courage à deux mains afin de rejoindre Foudros pour lui avouer ses sentiments ! Elle ne savait pas où il avait pu aller... jusqu'à ce qu'elle ce souvienne de ce jour où il l'a emmené au sommet d'une montagne à Astrub. Elle se dirigea donc au seul endroit de l'île où il y avait du panorama. Mais en arrivant au sommet de la colline, elle vit bien que Foudros avait beaucoup pleuré… elle préfère ne rien dire et le ramène à la maison.

Le nettoyage et le rangement de la maison prendra quelques jours, mais Foudros et Magilia étaient prêts à s’installer définitivement ici : Ils avaient donc 2 maisons : celle-ci et celle dans la cité d’Astrub. Magilia se refusait à la vendre. Elle la proposa à Sarmita. Cette dernière, quelque peu gênée, accepta mais uniquement le temps d’avoir sa propre maison.

Magilia voyait que Foudros n'avait pas le moral... et comme il n'a jamais dit de quoi parlait la lettre de Trebla, elle en a conclu que cette dernière était la cause de sa tristesse. Elle repense à ce que Sarmita lui a dit (En lui avouant tes sentiments, ça pourrait lui remonter le moral !) et essaie de divertir Foudros comme elle le peut… sans succès pour l'instant.

25 au 27 descendre 801 : Foudros et Magilia : love story 1

28 descendre : En marchant dans la cité, Magilia, Foudros et Sarmita croisent Lothilda ! Magilia se rappela que la jeune iopette avait dit qu’elle retournait vivre à Astrub. Magilia présente Sarmita. Elles font connaissance et l’ancienne garde de bonta explique à la sramette les circonstances de sa rencontre avec Foudros et Magilia : Sarmita souriait et regardait Magilia régulièrement, et à chaque fois, la jeune huppermage rougit et tourna le regard. Foudros lui, souriait paisiblement, comme s’il s’agissait d’un souvenir lointain. Sarmita n’osa rien dire devant Lothilda, qui fait maintenant partie de la garde d’Astrub, mais une fois que cette dernière s’en alla, la jeune sram ne retient pas ses mots face à Magilia : “Ben dis donc, kidnapper son ami… ça en demande du courage ! S’il s’agissait de son amoureux, je pourrai encore comprendre, mais là ça dépasse tout !” Foudros en souriant : “C’est vrai que c’était un plan tordu, mais il a bien fonctionné… du moins au début.” Magilia était contente que Foudros la soutienne. Plus tard dans la journée, alors que Magilia et Foudros s’apprêtaient à retourner sur leur île, Lothilda accourt vers eux en leur signalant une quête de mercenaire : des araknes mènent la vie dure à des mineurs près du royaume Sadida. La quête demande simplement d’empêcher les araknes de sortir de leur nid afin que les mineurs puissent finir l'extraction des minerais. La récompense est de 20.000 Kamas. Sarmita est partante, Magilia est hésitante, mais comme elle a su repousser Dyfyrrée et une belleaphone avec ses pouvoirs, elle accepte. Foudros lui, n’était pas confiant du tout : il est araknophobe ! Magilia le rassure en lui disant qu’il pourra rester dans le havre-sac… mais Foudros se convainc : “Au pire, je peux utiliser mes portails pour éloigner ces bestioles, ou être hors de portée…” Lothilda est contente de voir que tout le monde l’accompagne. 

 

 - 8 javian 802 : Le groupe continue d’avancer vers le royaume sadida. Sur le chemin, Sarmita aperçoit un portail zaap : “Super, si on avait su on aurait gagné du temps…” Lothilda intervient : “Merci de remuer l'épée dans la plaie…” Magilia, elle, profitait du paysage. Elle peinait à croire que le Chaos d’Ogrest avait eu lieu partout dans le monde. Ce coin de nature semblait avoir été épargné… par les dieux peut-être… Pendant un moment, les filles discutaient toutes les trois… mais Magilia constate que Foudros ne rigole pas… en fait, il n’a pas dit un mot depuis qu’ils sont partis… pire, il ne souriait même pas, il semblait absent… Magilia lui demande s’il va bien, ce à quoi il répond : "Euh oui, j’étais juste dans mes pensées…” Sarmita intervient aussitôt, avec un sourire et une voix différente, comme si elle semblait avoir deviné à quoi Foudros pensait : “Qu’est-ce qu’il peut bien y avoir dans tes pensées pour que tu y sois sans arrêt ?” Foudros, peiné, avoua une autre chose qui lui passait par la tête : “Bien que la végétation soit recouverte par la neige, je trouve le paysage magnifique." 

Plus tard, il proposa aux filles d’utiliser sa super vitesse afin d’arriver avant la nuit. Magilia demande à Sarmita et Lothilda de la rejoindre dans son havre-sac. Lothilda ne comprend pas ce que Foudros compte faire. Sarmita lui explique en quoi consiste cette “super vitesse”: "Je ne l’ai vu qu’une seule fois il y a quelques jours. Foudros voulait rejoindre le haut de la montagne d’Ulmu. Il ouvre un portail, saute dedans, et plusieurs autres portails s'ouvrent vers la direction dans laquelle il se rend. Ça va très vite… mais ce sera plus parlant pour toi quand tu le verras.” La iopette changea de sujet et demanda depuis quand Magilia et Foudros étaient ensemble. Sarmita intervient pour informer Lothilda qu’ils ne sont pas ensemble… enfin pas encore :”Surtout, pas de gaffe à ce sujet là, c’est à Magilia d’avouer ses sentiments !” Sarmita n’était pas en colère, mais son ton ferme fit réagir Lothilda : “Tu me prends pour une iop ou quoi ?! Je ne sais que trop bien ce qu’est l’honneur.” Sarmita semblait rassurée, tandis que Magilia était pensive… la sramette lâcha : “Vous allez bien ensemble pour réfléchir sans arrêt.”  Ce qui rendait le sourire à Magilia.

 

Plus tard, lorsque Foudros ouvre le havre-sac, Magilia, Sarmita et Lothilda en sortent. La iop est la première à parler, tout en sortant son épée de son fourreau : “Alors, où qu’ils sont les monstres ?” Un sadida les interpelle : “Je suppose que vous êtes les mercenaires ?” Lothilda, fière, demande : “Ça ne se voit pas ?” Le sadida, gêné, n’ose pas trop dire : “Eh bien c'est à dire que 4 filles contre de grosses araknes, c’est quelque peu…”  Lothilda l’interrompt aussitôt : “Tout à ma droite là, c’est un garçon… et quelque soit leur taille, des araknes restent des araknes !” Le sadida sent que le groupe est prêt à en découdre… Il le fait donc descendre dans la mine.

Mine Yon.png

Il précise : “Sachez que vous pouvez vous déchainer ici, il n’y a aucun risque de coup de grisou.” Sarmita lui demande comment il peut en être aussi sûr, leur guide lui répond : “Aucun tofu n’a étouffé au sein de cette grotte.” Foudros ne fera qu’un commentaire : “C’est barbare.” L’action ne se fait pas attendre : des cris retentissent du fin fond de la caverne ! Lothilda est la première à foncer ! L’entrée de la grotte n’était pas longue et le souterrain peu profond, c’est à droite de la grande zone que la mine commençait… et à gauche se trouvait une autre grotte contenant le nid des araknes !

Les filles étaient en première ligne ! Arrivées dans la caverne, elles voient effectivement des araknes plus grosses que d’habitude ! Les filles se débrouillent bien et sont vite rejointes par Foudros qui ouvre des portails à partir desquels il tire du wakfu sur les monstres ! Lothilda et Sarmita attaquent au corps à corps, tandis que Magilia et Foudros défendent les mineurs à distance… mais soudain, plusieurs autres araknes débarquent ! Lothilda et Sarmita commencent à se retrouver débordées ! Foudros tente de lancer une autre attaque depuis un de ses 2 portails… il parvient à lancer un éclair de wakfu qui, en touchant une arakne, se répand sur une autre et finit par presque toutes les paralyser ! Foudros était étonné, il n’avait pas réussi à relancer cette attaque depuis son premier affrontement contre Tranchet… bien que des éclairs de wakfu touchaient plusieurs chafers lors de leur attaque, ces éclairs ne provenaient pas de ses portails ! Lothilda était impressionnée… et quelque peu dégoûtée de ne pas être aussi efficace. Foudros réussit à maintenir son attaque pendant un bon moment… mais il fatigue vite ! S’il n’avait pas utilisé sa super vitesse pour arriver plus vite à la Mine Yon, il aurait pu tenir plus longtemps ! Il finit par fermer son portail et par poser le genou à terre ! Sarmita le rassure : “T’inquiètes, elles sont encore légèrement paralysées ! Tu nous a permis de gagner du temps, on va pouvoir les éclater !” Mais plutôt que d’avancer, les araknes se replient dans leur nid… Lothilda, toute fière, se vante : “Elles ont compris à qui elles avaient affaire !” Les mineurs continuent d’extraire de l’or… mais le sourire de Lothilda s'efface lorsque les araknes reviennent… avec du renfort ! Magilia s’écria : “Des araknes velues et des brodeuses !” Foudros vit une arakne velue pour la première fois, il voulut crier, mais sa nouvelle attaque le rassurait. Les araknes velues et brodeuses se précipitent sur le groupe… mais en se séparant et en passant par les murs et le plafond de la grotte ! Trop espacées les unes des autres, la nouvelle technique de Foudros était inefficace ! Une arakne brodeuse restée en retrait des attaquantes parvient à entoiler Foudros et à le tirer vers elle ! D’autres araknes brodeuses le collent sur une grosse toile ! Magilia, trop concentrée sur ses adversaires, ne le remarque que trop tard !

Magilia était immensément inquiète, mais pas le temps : elle est acculée par les araknes ! Lothilda, voulant aller l’aider, se précipite vers le nid… mais se fait entoilée elle aussi ! Magilia, folle de rage, libère sa magie lumineuse et éclate plusieurs araknes… il n’en reste plus beaucoup, mais une énorme arakne surgit ! Il s’agit de la dominante !

Les deux meilleurs combattants (selon elles) sont prisonniers, elles pensent n’avoir aucune chance ! Magilia, désespérée, demande de l’aide à la Balance Krosmique (le divinité Huppermage)... Les araknes, bien que moins nombreuses, se rapprochent dangereusement ! C’est alors que le cristal de Magilia se met à luire ! La jeune huppermage libère une décharge d'énergie lumineuse dont l'onde de choc repousse les araknes ! Sarmita est dépassée, son amie dégage une énergie colossale !

Les araknes, sentant une mort imminente, retournent dans leur nid ! Magilia tire un rayon d’énergie qui détruit la toile sur laquelle Foudros était collé ! Pendant ce temps, Sarmita essaie de porter Lothilda, entoilée, mais la toile colle ses mains ! Magilia porte Foudros sous son bras droit et tire un rayon de lumière sur le plafond, dans toute la longueur du passage des araknes ! Un éboulement a lieu ! Magilia fonce (en volant) vers ses 2 amies, et les récupère au passage ! Elle réussit à les porter toutes les deux sous son bras gauche ! Elle pose ses amis… et cesse de libérer de l’énergie à cet instant. Personne ne comprend ce qu’il s’est passé… mais pas le temps d’y réfléchir : Sarmita parvient à délivrer Lothilda, tandis que Magilia délivre Foudros. Leurs cocons n’étaient plus aussi collants, l’énergie libérée par Magilia avait séché la toile ! Pendant un instant, Magilia et Foudros se sont regardés droit dans les yeux, sans rien dire… sans bouger…

Sarmita interrompt ce moment hors du temps pour demander : “C’était quoi ça ?!” Magilia, qui commençait à rougir, expliqua : “Je… je n’en sais rien… j’ai senti une agréable chaleur au niveau de mon cristal… j’avais l’impression d’être capable de tout…!” Le sadida qui les avait amenés dans la grotte vient leur demander ce qu’il s’est passé. Sarmita explique que Magilia a provoqué un éboulement qui pourrait bloquer les araknes à tout jamais. Lothilda, à peine debout, s’exclama : “Allons vérifier !” Ni une ni deux, elle retourne dans la caverne… était-ce l’envie de vérifier les dires de Sarmita, ou l’appel de la (potentielle) baston ? Lorsque ses amis la rejoignent, ils constatent qu’effectivement, le passage qui mène au nid des araknes est bouché par l’éboulement ! Par chance, aucun éboulement n’a eu lieu à l’endroit où se trouve le filon d’or !

Le sadida était ravi : “Le contrat était que vous empêchiez les araknes d’atteindre les mineurs, mais là, vous nous avez totalement retiré l’épine du pied !” Il leur affirme que leur mission est accomplie, et leur offre les kamas comme convenu… enfin, un peu plus que prévu étant donné les circonstances.

 

En partant du campement, Magilia se demandait toujours comment son cristal avait pu provoquer cette surpuissance… Foudros lui suggéra d’aller demander à sa grand-mère Giselle. Magilia trouvait que c’était une bonne idée, après tout, le cristal lui avait appartenu dans sa jeunesse. Lothilda et Sarmita voulaient venir avec elle, mais la iopette avait accepté une autre mission non loin d’ici. Sarmita décide de l’accompagner : “On vous laisse entre vous. Vous nous raconterez tout.” Magilia se doutait que Sarmita avait fait exprès de les laisser seuls afin qu’ils puissent se rapprocher. Pour Foudros et Magilia, direction Emelka !

Foudros et Magilia se reposent dans le havre-sac. Foudros, qui est assis sur le lit, pensif, se met à parler tout bas à Magilia : “Merci de m’avoir sauvé… une fois de plus.” Magilia lui répond que c’est tout naturel. Foudros remonte la tête vers elle, en lui souriant différemment : “Qu’est-ce que je ferais sans toi ?” Magilia devient rouge et lui répond, gênée : “Oh mais tu sais, avant de te connaître je ne pensais pas être capable de tout ça, alors c’est valable pour moi aussi ! Tu… tu m’es… tu es indispensable !” Magilia n’arrive pas à s’empêcher d’avoir la voix qui tremble ! Foudros lui dit merci. Magilia s’endort rapidement.

Le lendemain, Foudros et Magilia utilisent le zaap qu’ils ont aperçu en chemin pour se rendre à Emelka. Magilia est certaine qu’il y a un portail là-bas car c’est sa grand-mère qui lui a dit. En effet, lorsqu’ils sortent du portail, ils se trouvent sur une petite colline d’où ils contemplent le petit village d’Emelka. Il se rendent dans une grande maison avec un long balcon, c’est ici que Giselle est partie vivre.

Dès leur arrivée, Giselle dit à Magilia que “c’est enfin arrivé”. Magilia ne comprend pas… avant de réagir: “Oui, et apparemment, tu savais que ça arriverait…” Son sourire avait disparu, comprenant l’importance de ce que sa grand-mère allait lui expliquer. Celle-ci s’adresse aussitôt à Foudros : “Toi aussi tu as des questions, bien que je ne pourrais pas répondre à chacune d’elle, tu repartiras avec l’esprit plus clair.” Giselle leur demande de poser leur question… Voyant que Foudros ne dit rien, Magilia parle en premier : “J’aimerai savoir si le cristal que tu m’a offert est bien plus qu’un simple bijoux.” Giselle sourait moins… mais restait sereine : “Bien sûr. Il m’a été envoyé par la Balance Krozmique elle-même.” Magilia est étonnée : “Mais comment…?! Les Dieux ne donnent plus aucun signe de vie depuis Ogrest.

- “Précisément, je l’ai eu il y a bien longtemps, avant que je ne parte à l’aventure. Ce cristal établit un lien magique avec son détenteur… enfin, uniquement s’il estime que ce dernier en est digne !

- “Comment ça ?

- “Si la cause pour laquelle tu te bats est “réellement juste”, alors tu deviens, pendant un court laps de temps, l’incarnation même de la Balance Krozmique ! À partir de la première transformation, un lien magique se crée entre toi et le cristal. Même lorsque tu transmettra le cristal à quelqu’un d’autre, ce lien sera toujours là.”

- “Donc… je peux devenir aussi puissante que la Balance Krozmique…

- “Oui, mais tu n'as pas autant de capacité qu’elle, et cela n’arrivera que si tu ne peux rien faire avec tes pouvoirs. Il faut aussi savoir que la durée de la transformation dépend de l’impact qu’aurait cette cause sur l’équilibre du monde. Par exemple, combattre un criminel qui ne gêne pas l’équilibre du monde… tu seras transformée pendant à peine 1 minute. Si tu devais combattre tout un groupe de roublards qui ravagent le monde, tu pourrais rester transformer une bonne dizaine ou quinzaine de minutes.”

- “Ok, ça me rassure.” Giselle demande à Foudros ce qu’il veut savoir, mais ce dernier répond qu’il n’a besoin de rien. Giselle n’est pas de cet avis : “J’ai connu Lypscoa par le passé. Il était venu me voir avec une belle petite blonde pour en savoir plus sur les dofus. Maintenant qu’il n’est plus là, personne ne peut t’aider à maîtriser tes pouvoirs, mais ceci y parviendra peut-être” :

Foudros était intrigué : “Le recueil de magie éliatrope ?!

- “Oui, mais surtout, n’essaie jamais de créer le portail qui mène dans la Shukrute, la dimension des shushus ! Deux jeunes garçons ont essayé par le passé… et ont réussi. Résultat, les shushus ont retrouvé une cruauté sans limite et sont présents sur le Monde des Douze !” Magilia était étonnée, elle pensait que sa grand-mère ne connaissait pas Lypscoa puisqu’elle n’avait jamais parlé de lui auparavant… Ceci dit, elle n’avait jamais parlé d’aucun autre client non plus. Foudros et Magilia remercient Giselle, mais cette dernière ajouta : “Ah, une dernière chose. Ce livre là vous servira à tous les deux… il est temps de faire savoir au monde que vous êtes là.” Magilia remercia encore sa grand-mère et s’en alla avec Foudros. Magilia commença à feuilleter le livre : “La confrérie de l’espoir ?! Il y a une liste des membres qui en ont fait partie, avec les dates… Ma grand-mère était la première ! Renaud, mon grand-père était le second… mais, attends… Lypsoca en a fait partie à la fin de l’Âge des Dofus… avec une certaine Éliana ! Lypsoca ne t’en a jamais parlé ?” Foudros répondit : “Non… Il ne me parlait jamais du passé… Je pense que Giselle veut que l’on reprenne sa guilde.” Magilia trouvait que c’était une superbe idée, elle était certaine de réussir ses prochaines missions grâce à ses nouveaux pouvoirs !

Personnalité :

Magilia est une fille forte… du moins c'est ce qu'elle montre, au fond elle est aussi sensible que Foudros. La seule différence avec lui c'est qu'elle minimisera l'importance de ce qui la tracasse et fera comme si de rien n'était. Cela l'aide à garder le moral mais Foudros voit qu'elle souffre intérieurement "Ce n'est pas bon de refouler sa colère ou sa souffrance, en parler fait du bien, surtout à quelqu'un qui peut te soutenir"- Foudros.

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